Fruit de l’esclavage, le maloya fut longtemps cantonné à des fêtes clandestines, les kabars, où les esclaves affirmaient leur désir d’indépendance dans une musique rituelle de transe. Ti’Kaniki poursuit ce processus de transmission au sein d’un groupe sans chanteur fixe, sans instruments harmoniques, dans la tradition des premiers kabars. Tout le monde chante et joue des différentes percussions. C’est une approche unique dans le maloya actuel. Ti’Kaniki se singularise aussi par les apports de cultures exogènes (Cameroun, Colombie..). Ti’Kaniki ce n’est pas seulement un concert, mais un vrai kabar, un moment de partage dans la ferveur et la spontanéité.
Le Maloya : musique traditionnelle réunionaise :
Apéroconcert : TI’KANIKI TiKaniki poursuit le processus de transmission du « maloya », genre musicale née du fruit de l’esclavage, où ces derniers, à travers la musique affirmaient leur désir ardent d’indépendance. Ils seront au nombre de 8 pour enflammer les planches de la Bobine.
