LE NANTAIS BASS TONG S’APPROPRIE DES OBJETS DE RÉCUPÉRATION COMME DES TUYAUX DE PVC POUR FABRIQUER DES INSTRUMENTS NON STANDARDISÉS AVEC LESQUELS IL FAIT RÉSONNER UNE TECHNO ACOUSTIQUE !
Dans la rue ou sur scène, cet ancien étudiant des Beaux Arts promène sa lutherie sauvage : « Tout objet est une source sonore potentielle et pour transformer le trottoir en dancefloor, pas besoin de synthétiseurs hors de prix » raconte-t’il. En résulte une musique de récup’ low tech, qui s’inspire de la techno domestique de « Jacques », des allemands du « Blue Man Group », ou encore des congolais de « Kokoko ». C’est cette « techno du pauvre » qui amène, en avril 2020, Antoine de Caunes à lui consacrer un mini reportage dans lequel il le lie à une nouvelle génération de musiciens/bricoleurs !