DJ et productrice franco-tunisienne, installée à Tozeur dans le désert subsaharien.
Azu Tiwaline c’est un nouveau nom pour un esprit neuf : celui d’une productrice portée par le besoin de rechercher un son différent dans ses origines enracinées dans le Sahara et la région d’El Djerid (sud de la Tunisie). Un son du désert puisant dans les musiques de transe berbères ou sahraouies, plongeant dans les profondeurs du dub et de l’electronica. Un voyage, un trip, une renaissance et une révélation !
Les premières sorties discographiques de Azu Tiwaline sorti en début d’année – un album sur IOT et un EP sur Livity avec le musicien Cinna Peyghamy – ont été largement plébiscités tant par la presse européenne (Télérama, Mixmag UK, DJ Mag UK, Groove.de, RA, Bandcamp…) que par la scène électronique (Dekmantel, Laurent Garnier, Lena Willikens…).
Productrice et live performeuse, cette artiste insatiable multiplie les projets, que ce soit en solo avec une série d’EPs mêlant électro, acid et techno percutante, la gestion de son label CVNT Records, ou en groupe avec le projet ‘Sale Affaire’ et le collectif Conspiration. » Elle a joué dans toutes les soirées qui comptent (la Chatte puis Arm Aber Sexy à Lyon, Wet for Me, House of Moda, Mutante, Garçon sauvage…) et signe avec son nouveau maxi cinq titres, Rainmaking, un manifeste qui élargit son champ d’action. Ses influences sont larges et variées, elles comptent des projets électroniques comme Kraftwerk, Massive Attack, Air, Para One, Chloe, Laurent Garnier, Rone, Paula Temple, mais aussi des musiques plus pop et disco ainsi que des influences traditionnelles (jazz éthiopien, cumbia, musique indienne, musique brésilienne…). Les references à ces musiques dans les morceaux de Calling Marian ne sont pas forcément explicites, mais font partie d’un tout qui viennent nourrir ses sets devenus antologique. On la retrouve aujourd’hui sur les meilleurs scènes de musiques électroniques de France (Panorama festival, Petit bain, Le sucre, l’Iboat..)
Entre puissance et respiration, sa musique effectue un grand huit entre boucles acides, réminiscences tribal-trance, sons organiques et techno de hangar, sans jamais tomber dans la faute de goût. A contre-courant des couches de béton armé que la techno industrielle traditionnelle nous inflige depuis plusieurs années, Calling Marian fait le pari contraire d’une approche plurielle et d’une variété bienvenue.
DJ aux idées larges, Rescue génère des rencontres entre dancefloor et musiques aventureuses depuis 2002. Après avoir lancé l’aventure Chica-Chic (distribution, disquaire), assuré la programmation et la production de quelques 200 soirées et émissions de radio, elle se lance dans la prod au sein du duo OTTO RIITA. Elle a joué en première partie de concerts d’artistes internationaux ou totalement underground, sur des scènes nationales, dans des centres d’art contemporain, des clubs mythiques ou des bars pourris en France et à New York, Berlin, Barcelone, Lausanne… Ses sets, engagés, puissants, convient techno hypnotique, house moite, synth wave décalée, disco mutante et expérimentations sonores.